Ghost Machine

Synopsis

« Ghost Machine » est un film de science-fiction et d’action sorti en 2009, réalisé par Chris Hartwill. Le film mêle réalité virtuelle, technologie militaire, et une touche de surnaturel pour plonger ses personnages dans une expérience terrifiante où la frontière entre le monde virtuel et le réel devient dangereusement floue.

Le film suit deux soldats américains, Tom (Sean Faris) et Vic (Luke Ford), passionnés de jeux vidéo et de réalité virtuelle. En mission dans une base militaire désaffectée en Irlande du Nord, ils décident de pirater un simulateur d’entraînement militaire ultra-secret pour tester un nouveau programme de réalité virtuelle de leur invention. Ils sont accompagnés par Jess (Rachael Taylor), une spécialiste en informatique et en cybersécurité, qui est là pour s’assurer que tout se déroule comme prévu.

En utilisant le simulateur, les trois amis plongent dans une réalité virtuelle hyper-réaliste où ils doivent affronter des ennemis dans une mission militaire fictive. Mais ce qui commence comme un simple test de jeu vire rapidement au cauchemar. Un esprit vengeur, celui d’un ancien prisonnier de guerre torturé dans la base, s’est infiltré dans le programme. L’âme tourmentée de cette victime cherche à se venger des soldats qu’elle considère responsables de sa souffrance, et utilise la technologie pour transformer le simulateur en une machine à tuer.

Piégés dans cet environnement virtuel où chaque erreur peut être fatale, Tom, Vic, et Jess se retrouvent traqués par cet esprit malveillant. La frontière entre le virtuel et la réalité s’effondre peu à peu, rendant leurs actions dans le jeu aussi dangereuses que dans le monde réel. Ils doivent non seulement trouver un moyen de sortir de la simulation avant d’être tués, mais aussi comprendre l’origine de cette présence fantomatique et trouver un moyen de l’apaiser avant qu’elle ne les détruise tous.

Alors que la tension monte et que les liens entre les personnages se tendent, ils sont confrontés à leurs peurs les plus profondes et à la question de savoir jusqu’où ils sont prêts à aller pour survivre.